lundi 12 avril 2010
lundi 22 mars 2010
Le massacre des rhinocéros
Quand la bêtise humaine s’associe à la cupidité !
La corne de rhinocéros à laquelle on attribue des vertus aphrodisiaques est très recherchée en Asie, alors qu’elle n’est composée que de kératine. Une corne peut valoir jusqu’à 200 000 euros !
Hélas, cette forte demande fait fructifier un trafic en Afrique du Sud ou au Zimbabwe voisin.
Poussés par la misère, les braconniers sont de plus en plus nombreux. Ils utilisent un puissant tranquillisant pour pouvoir couper les cornes et les bêtes sont laissées ainsi mutilés, il faut les abattre.
Des gangs financent des "chasses" pouvant aller parfois jusqu’à l’emploi d’hélicoptères et d’armes sophistiquées.
La police internationale a arrêté des trafiquants et saisi l’équivalent de 10 millions d’euros de médicaments.
47 braconniers ont été arrêtés en 2009 par la police locale. Mais il faudrait s’attaquer à la racine de ce fléau en interdisant la vente des cornes comme on l’a fait pour l’ivoire.
En moins de 4 ans le Zimbabwe a perdu un quart de sa population de rhinocéros.
"Si cela continue, il ne restera plus un seul rhino au Zimbabwe d'ici cinq ans",d’après Raoul du Toit, directeur du Lowveld Rhino Trust, une association de protection de ces mammifères.(source lemonde.fr)
Autre souci, la plupart du temps, les braconniers interpellés n’ont pas été punis, car les juges subissent des pressions.
La Convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées (Cites), dont la conférence se tient jusqu'au 25 mars à Doha, au Qatar, doit discuter des moyens d'accroître la pression sur les autorités zimbabwéennes, pour que celles-ci renforcent la lutte contre le braconnage. (Source lemonde.fr)
Cela suffira-t-il ? J’en doute, la bêtise humaine n’a vraiment pas de limites.
La corne de rhinocéros à laquelle on attribue des vertus aphrodisiaques est très recherchée en Asie, alors qu’elle n’est composée que de kératine. Une corne peut valoir jusqu’à 200 000 euros !
Hélas, cette forte demande fait fructifier un trafic en Afrique du Sud ou au Zimbabwe voisin.
Poussés par la misère, les braconniers sont de plus en plus nombreux. Ils utilisent un puissant tranquillisant pour pouvoir couper les cornes et les bêtes sont laissées ainsi mutilés, il faut les abattre.
Des gangs financent des "chasses" pouvant aller parfois jusqu’à l’emploi d’hélicoptères et d’armes sophistiquées.
La police internationale a arrêté des trafiquants et saisi l’équivalent de 10 millions d’euros de médicaments.
47 braconniers ont été arrêtés en 2009 par la police locale. Mais il faudrait s’attaquer à la racine de ce fléau en interdisant la vente des cornes comme on l’a fait pour l’ivoire.
En moins de 4 ans le Zimbabwe a perdu un quart de sa population de rhinocéros.
"Si cela continue, il ne restera plus un seul rhino au Zimbabwe d'ici cinq ans",d’après Raoul du Toit, directeur du Lowveld Rhino Trust, une association de protection de ces mammifères.(source lemonde.fr)
Autre souci, la plupart du temps, les braconniers interpellés n’ont pas été punis, car les juges subissent des pressions.
La Convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées (Cites), dont la conférence se tient jusqu'au 25 mars à Doha, au Qatar, doit discuter des moyens d'accroître la pression sur les autorités zimbabwéennes, pour que celles-ci renforcent la lutte contre le braconnage. (Source lemonde.fr)
Cela suffira-t-il ? J’en doute, la bêtise humaine n’a vraiment pas de limites.
mercredi 3 mars 2010
Dramatique
Malgré tous les avertissements, ils continuent le massacre. Jusqu'à extinction complète???
mardi 2 mars 2010
Tout fout le camp
La très rapide et exponentielle avancée de nos civilisations engendre la disparition, souvent définitive, de nombreux objets, animaux et autres éléments de notre environnement.
Ce blog a pour but de faire un recensement non exhaustif des modifications significatives et parfois douloureuses de notre cadre de vie.
Je compte sur vos commentaires et vos interventions pour une documentation la plus complète possible.
Ce blog a pour but de faire un recensement non exhaustif des modifications significatives et parfois douloureuses de notre cadre de vie.
Je compte sur vos commentaires et vos interventions pour une documentation la plus complète possible.
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